Frédérique Delrieu Psychologue.
Numéro ADELI : 749311965.
Catégorisation de ma pratique.
Psychologie scientifique
Approche intégrative
Spécialités : émotions, flow, méditation, états de conscience modifiés volontairement, imagerie mentale/hypnose.
Interventions pour et par le groupe
Conception et évaluation de projets
Spécialités d’interventions pour les psychothérapies
Autres spécialités
Ma pratique, mes positions, mes spécialités.
J'interviens au niveau des organisations, des groupes et des individuels.

2 / L'accompagnement psychologique.
Concerne les facteurs qui influencent la santé globale (qui inclue la santé
psychologique), l’adaptation d’un individu à son environnement, son équilibre, les risques
potentiels et leur prévention, l’épanouissement, etc.
Public : Athlètes, artistes, personnes confrontées à des situations énergivores ou extrêmes. Ainsi que les individus qui affrontent des périodes de changement, d'adaptation ou de blessure.
Pour les athlètes de haut niveau cet accompagnement s'étend, si souhaité et/ou opportun, aux périodes de compétitions internationales à l'étranger.
3/ Le développement de soi tout au long de la vie. : sous forme de stages à thématiques diverses.
Pour des personnes qui "vont assez bien" ou en tout cas, pas trop mal, et qui souhaitent s'épanouir davantage, mieux se connaître et se comprendre.
Concerne, comme la préparation mentale, l'acquisition de connaissances et de compétences psychologiques dans des domaines qui ne visent pas particulièrement une performance accrue à priori.
4 /Le soutien psychologique. Les psychothérapies.
Le soutien psychologique va concerner des périodes vécues comme difficiles.. Lorsque la souffrance s'est installée ou que les individus se ressentent bloqués, les psychothérapies permettent de réduire la souffrance de par des soins non-médicamenteux.
→ Pour un panorama plus complet
Ma pratique s'articule autour de quatre pôles principaux, qui s'influencent, tout en ayant leurs spécificités d'intervention :
1 / Les formations et interventions spécifiques, qui incluent les interventions de préparation psychologique. .
À visé d'amélioration ou d’acquisition de compétence (formation) , de mise en évidence puis de résolution d'une problématique, d'amélioration de la dynamique de groupe ou de la cohésion d’équipe, etc.
Je pratique également la supervision d'équipe et aime me joindre à la conception de projets au sein des organisations.
Je me suis spécialisée dans le domaine de l’émotion, au niveau de la régulation émotionnelle et plus largement dans le développement de l’intelligence émotionnelle. Tant dans le champ de la psychologique de la performance et du sport que dans celui de la Psychologie de la santé mentale positive, du développement, et de la psychothérapie.
Dans les champs de la psychologie de la performance et du sport, et de la psychologie positive (qui se recoupent) , je m’intéresse particulièrement (outre le développement de l'intelligence émotionnelle) aux facteurs de flow dans la conception de Mihály Csíkszentmihályi.
J'ai intégré l'approche psychocorporelle et donc les techniques associées, à des fins différentes. Cette approche n’est que rarement en mesure de résoudre à elle seule les problématiques que rencontre un individu, elle est selon moi indispensable à une conception corps-esprit de la santé mentale qui est la mienne. Les méthodes psychocorporelles sont par ailleurs indissociables de la préparation psychologique ou mentale, ainsi que de la régulation émotionnelle, du fait du caractère multicomponentiel des émotions.
La méditation de pleine conscience (PC ou Mindfulness), découverte durant mes premiers séjours en Himalaya, ses applications et ses finalités occupent un grand espace dans ma vie et dans ma pratique. J’ai d’ailleurs consacré un de mes mémoires de recherche à étudier quelques relations/corrélations entre compétences Mindfulness et compétences de régulation émotionnelle. Beaucoup pensent encore, du fait de l’effet relaxation, x fois mesuré, que la PC est une méthode de relaxation. Elle a surtout pour finalité de développer l’attention sur le moment présent et de modifier le rapport entre la personne et ses expériences intérieures (défusion). Observer et accepter l’expérience, plutôt que chercher à la transformer, va renforcer l’efficacité des méthodes cognitives comportementale de troisième vague qui ne visent pas en priorité la disparition de ce qui est désagréable à vivre.
D'une manière générale, je me suis particulièrement intéressée aux méthodes qui permettent de modifier nos évaluations d’une situation ou d’une période et la valence de la charge émotionnelle ou de stress corrélés, de par des états de conscience ou de tensions musculaires modifiés volontairement. Les méthodes d’interventions sur la cognition (que j’étends à la métacognition, compétence très importante) ou le comportement sont inefficaces, mais elles ne sont pas toujours suffisantes.
Ce qui m’a amené à l’inclusion dans les seconds de méditation ayant pour objet l’expérience émotionnelle positive (compassion, confiance, joie, gratitude, confiance en la vie, « etc. »).
Ces méditations ont des points communs avec l’imagerie mentale et l’hypnose que j’utilise également. La conception de l'hypnose est tellement débattue que je ne me risquerais pas à la définir, je la différencie de l’imagerie mentale sur deux points. L’hypnose implique d’être hypnotisé par un thérapeute et le script est définie au préalable par le thérapeute (même si en collaboration avec l’hypnotisé). Alors que l’imagerie se pratique en autonomie, après une période d’apprentissage le pratiquant crée ses propres scripts. On ne connaît pas encore tous les processus précis qui mènent aux résultats constatés, tandis qu’il est difficile de savoir dans quels états de conscience se trouve précisément un individu durant une séance d’hypnose, d’imagerie, de méditation ou de relaxation sans un appareillage. C’est pourquoi je me tiens très informée des résultats des recherches au fil des mois. Par ailleurs d’autres méthodes de méditation que la mindfulness qui m’apparaissent intéressantes, notamment les méditations sur un objet (il s’agit de construire mentale un objet précis durant plusieurs dizaines de minutes) commencent à être étudiées.
Interventions pour et par le groupe.


Les interventions en groupe sont très efficaces. Lorsqu’elles sont adaptées aux problématiques, et supportables pour l’individu, elles sont pertinentes pour plusieurs raisons :
Elles permettent la mise en application de techniques actives, soit des mises en situations durant lesquelles l’individu est impliqué dans son entièreté. Ces techniques actives repoussent la position passive des participants et renforcent l'efficacité des interventions.
Le groupe apporte un lot d'éléments tels que les échanges d’expériences et de compréhension qui favorisent l'apprentissage tout en mobilisant des mécanismes qui sont des facteurs de changement (toute intervention vise un changement quelle que soit la nature de ce changement.).
L'émulation est favorable au maintien de la motivation nécessaire durant les formations qui impliquent un entraînement.
Enfin, les interventions en groupe réduisent les coûts horaires par participant.
Conceptrice de projet dans l'âme, j’ai choisi mon cursus universitaire aussi sur des critères de contenu de formation relatifs à la conception de projets au niveau des organisations et institutions. Mon expérience dans les domaines de l'humanitaire et des voyages d'aventure me permet également la conception de stages et séjours innovants.
Spécialités d’interventions pour les psychothérapies

Autres interventions